LE RISQUE SANITAIRE EN COPROPRIETE
Dès lors, la cour d’appel justifie sa décision en retenant que le risque de contamination à la légionellose
auquel ont été exposés les résidents de l’ouvrage durant le délai d’épreuve, rend celui-ci impropre à sa
destination, sans avoir à rechercher si ce risque s’est réalisé dans ce délai.
La Cour de cassation entend ainsi, comme en matière de normes para-sismiques ou de sécurité incendie,
assurer la sécurité de tout un chacun, cette fois sanitaire.
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